Pour nous adapter à la puissance des technologies numériques, il va nous falloir, affirme Ollivier Dyens, professeur à Montréal, modifier en profondeur la vision que nous avons de nous-mêmes.
 


Building 21 is a learning ecosystem open to all McGill students up to one year after graduation where disciplines (arts, sciences, medicine, music, etc.), methods (theoretical, practical, applied, fundamental) and levels (bachelor’s degree to PhD) come together. At Building 21, students use poetry to discuss physics, science to explore beauty, technology to think about what it means to be human, evolutionary biology to understand capitalism, and they use these approaches to explore the space of possibilities and find new solutions to new problems. In this unusual lab, an undergraduate literature student debates and collaborates with a graduate student in neuroscience and a PhD student in physics.

 

Repenser le monde avec Building 21 et Ollivier Dyens

Mon carnet, le podcast: Bruno Guglielminetti

Cette rencontre avec Ollivier Dyens nous amène au cœur de l'innovation pédagogique. Créateur de Building 21, une communauté à l'Université McGill, Dyens cherche à enrichir l'expérience éducative des étudiants au-delà du système traditionnel. L'approche de Building 21 met l'accent sur le processus plutôt que les notes et les résultats. En explorant des thèmes divers, des réflexions sur l'intelligence artificielle à la place de l'être humain dans un monde technologique, les étudiants découvrent des perspectives novatrices. Une invitation à repenser l'éducation pour répondre aux défis contemporains avec une passion brûlante.

 

La création est-elle la chasse gardée de l’être humain? Est-ce qu’une œuvre créée avec intention mérite davantage le statut d'œuvre d’art qu’une œuvre créée avec l’aide de l’intelligence artificielle? L’engouement récent pour des logiciels d’intelligence artificielle comme ChatGPT, DALL-E ou Midjourney vient bousculer notre rapport à l’art et notre conception de la création artistique. Avec des références au cinéma, à l’histoire politique et à MySpace, Ollivier Dyens démystifie la peur qui entoure l’intelligence artificielle et le potentiel créatif de celle-ci.

Points Critiques:
Balado de théorie et de critique littéraires du Département des littératures de langue française, de traduction et de création de l’Université McGill (DLTC)

 
 

J’ai eu le privilège, grâce à une invitation de nos collègues Amélie Chiasson et Youen Cariou, d’assister à la journée dédiée à l’intelligence artificielle au Cégep Édouard-Montpetit intitulée À la croisée des chemins : technologie, équité et intelligence artificielle. La journée s’est ouverte sur une conférence du professeur Ollivier Dyens dont le titre, Comment créer un monde plus juste, plus humain, plus équitable face à l’immensité technologique ?, a su piquer ma curiosité dès le départ. Pour les plus avisés, vous savez potentiellement que c’est le fondateur et codirecteur du Building 21 à McGill. Si vous ne savez pas encore ce que c’est (comme moi hier!), vite, allez visiter ce site!

 

IA: Être ou ne pas être

Radio-Canada, télé

Est-ce qu’un jour l’ intelligence artificielle (IA) aura le dessus sur l’humain? Entre éthique et (r)évolution technologique, la série documentaire IA, être ou ne pas être tente de définir la ligne qui sépare l’humain de la machine.

 

La Terreur et le sublime d’Ollivier Dyens a été nommé dans la liste préliminaire pour la catégorie Essai 2020 des Prix des libraires du Québec.  Le texte optimiste et enthousiaste relève davantage du manifeste que de l’essai. L’auteur, fasciné par les questions technologiques depuis 25 ans, se questionne sur la notion d’intelligence humaine et artificielle, et anticipe la prolifération de Centaures de Kasparov dans le paysage du 21ème siècle. Entrevue. 


The Biology of Human-Machine Interaction

Canadian Journal of Cultural Studies

Dyens’s book provides a highly engaging look at how the interdependence of living beings, particularly humans, and their technologies have become intertwined to the point of modifying the ways that both can be said to exist. 


L’essai s’avère une réflexion nécessaire sur l’intrication probablement inévitable des cognitions naturelles et algorithmiques.


L’intelligence artificielle incarne « le reflet de nos propres cruautés » bien plus qu’un présage, estime l’essayiste Ollivier Dyens.


Les émotions peintes par Dyens sont intenses et elles touchent le lecteur.